Hello Watch, première application pour montre connectée made by Hello Bank

Cela faisait quelques temps déjà que les équipes de Hello Bank travaillaient contre « une course contre la montre » …. pour être en mesure de lancer Hello Watch. Il s'agit de LA première application bancaire pour montre connectée proposée en France. Communiqué à l'appui en début de semaine, le groupe BNP Paribas a fait savoir la position de sa banque en ligne. Hello Bank fait ainsi une nouvelle fois la démonstration qu'elle est bien une banque 100% digitale. Techniquement, comment cela se passe pour les usagers ? Il suffit pour les clients de Hello Bank propriétaires d'une montre Androïd Wear, de télécharger l'application bancaire sur la plateforme de Google Play. Ces derniers peuvent ainsi accéder à leur compte Hello Bank. Les clients peuvent « en quelques taps », consulter le solde de leur compte principal, y voir les trois dernières opérations bancaires effectuées et enfin connaître la « météo » du compte... plus précisément, savoir si le solde du compte est créditeur ou débiteur. A l'instar de la Caisse d'Epargne qui avait lancé une application pour gérer son coffre fort via les Google Glass en mars dernier, Hello Bank fait un pas de plus vers le monde des objets connectés. Hello Bank attache une importance particulière à la relation client et le lancement de l'application Hello Watch montre bien son intention d'être au plus près de ses clients. Dans ce sens, ces derniers seront alertés grâce à leur montre des nouveaux messages reçus sur leur messagerie personnelle bancaire. Enfin une fonctionnalité qui pourrait s’avérer utile : la possibilité de déclencher sur leur mobile un appel ou le dispositif de tchat avec un conseiller de Hello Bank.
Bien que le lancement de l'application Hello Watch peut sembler accessoire au regard du peu de nombre des utilisateurs de montre connectée Androïd Wear, cette innovation prouve bien l'intention de la banque en ligne d'être à la pointe des innovations digitales pour répondre à la demande de clients technophiles.